Sumario: | Au Moyen Âge, des religieux trouvent en montagne l’isolement nécessaire à l’épanouissement de leur spiritualité. Les maisons de prière qu’ils y fondent participent néanmoins au développement des relations entre les hauteurs et la plaine : en dépit de leur idéal de solitude, elles n’en sont pas moins ouvertes sur le monde extérieur, beaucoup d’entre elles sont aussi des lieux de passage, des points de contact, des espaces symboliques dans les activités humaines et économiques. En croisant des perspectives historiques, archéologiques et géographiques, cet ouvrage collectif apporte un nouveau regard sur les monastères et les couvents de montagne. Le Congrès national des sociétés historiques et scientifiques rassemble chaque année universitaires, membres de sociétés savantes et jeunes chercheurs. Ce recueil est issu de travaux présentés lors du 142e Congrès sur le thème « Circulations montagnardes, circulations européennes ».
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